Faceà un pervers narcissique donc, il faut être patient et tolérant. On doit aussi lui témoigner de la compassion et de l’attention. En outre, il faut reconnaître ses qualités et ses points forts. En revanche, il n’est pas question de l’agresser en lui disant ses 4 vérités. Il ne faut pas s’opposer à lui ou l’accuser au Lesmères narcissiques souffrent toujours d'un trouble grave de la personnalité. Ces personnes sont totalement centrées sur elles-mêmes, froides, manipulatrices, fourbes; elles exploitent autrui et manquent de la moindre empathie. La plupart des filles de mères narcissiques survivent à cette violence maligne. Lepervers narcissique structurel à un profil tout à fait particulier. Il peut être un homme ou une femme. Il a une construction ou plus exactement une non-construction qui le rend dangereux, toxique. Sa vision du monde est complètement erronée. Tout est Lorsd’un conflit, rien de pire pour ce type de personne que de vous énerver publiquement et de dire fortement ses quatre vérités. Cela pourrait nuire à l’image qu’elle s’est construire auprès des autres. Si vous désirez l’ennuyer, faites vos disputes en public. 15 – Elle veut toujours de la reconnaissance ou connaitre le 3 Le mensonge pathologique : toujours très convaincant et trompeur à souhait, le pervers narcissique est un menteur pathologique. Il créé des diversions, diffuse des demi-vérités, il bluffe ou encore menace sa victime quand elle le questionne.Il nie les évidences et se contredit lui-même. il ment sur l’amour qu’il ressent, sur ses regrets (il n’en a aucun, jamais), sur le Cest pour cela que l’abuseur arrive à ses fins.. Il y a un moment où le brouillard que vous avez mis pour vous protéger du ressenti douloureux de ce que vous avez vécu avec votre maman ou votre seour va se dissiper de plus en plus.. et vous pourrez alors ressentir ce qui est vraiment juste pour vous C’est déjà énorme de le voir ce brouillard. C’est le début de la . Vérifié le 03/03/2022 par PasseportSanté Sommaire OrigineDéfinitionCausesLe portrait-robotQue faire ?Le mythomane est-il un menteur ?Qu’arrive-t-il lorsque le mythomane est démasqué ?La mythomanie aujourd’huiCitationsLa mythomanie est une pathologie caractérisée par des propos mensongers auxquels son auteur croit lui-même. L’individu élabore des scénarios, des événements, des actes et des personnages qui n’ont jamais eu lieu ou qui n’existent mythomane se dit acteur ou témoin d’une histoire qu’il a lui-même imaginé et qui le place souvent dans une position avantageuse. Décryptage sur la mythomanie dans cet de la mythomanieLe terme de mythomanie a été inventé par le médecin légiste Ernest Dupré au tout début du XX? siècle dans son ouvrage La mythomanie, étude psychologique et médico-légale du mensonge et de la fabulation morbides 1905.La mythomanie désignait à l’origine l’aptitude élective des enfants au mensonge et à la simulation et plus précisément la tendance pathologique, plus ou moins volontaire et consciente, au mensonge et à la création de fables imaginaires ».Pour Dupré, hanté par le risque d’erreurs judiciaires, l’enfant est mû par un besoin constitutionnel de nuire aux adultes en mentant de façon naturelle. Même s’il précise que ces actes ne sont toujours pas intentionnels, un tel discours constitue un véritable acte d’accusation contre les enfants, et ce, d’autant plus qu’il n’avance aucune hypothèse pour expliquer le lui la conscience de l’enfant n’interviendrait qu’au tout début du mensonge, qui arriverait, par autosuggestion progressive, à s’imposer à la croyance de l’enfant. Celui-ci vivrait si intensément son mensonge qu’il finirait sincèrement par y mensongeLe terme de mensonge est apparu au XI? siècle dans la langue française à partir du latin mentire », traditionnellement associé à la pensée, à l’intelligence en le mensonge désigne une assertion sciemment contraire à la vérité, faite dans l’intention de tromper », ce qui confirme l’idée que le menteur ne croit jamais à son mensonge. Autrement dit, celui qui dit une chose fausse qu’il croit vraie ne ment pas, il se linguiste A. Reboul le confirme en ajoutant qu’une assertion ne peut être qualifiée de mensonge qu’à la condition que le locuteur ait l’intention que son interlocuteur croie qu’il croit à la vérité de ce qu’il dit. »La définition du mensonge se heurte donc à l’idée de se mentir à soi-même ». Or, il semble que le mythomane croit lui-même à ses mensonges… Peut-on qualifier le mythomane de menteur ? Les causes de la mythomaniePourquoi certaines personnes sont amenées à mentir à leurs interlocuteurs sans qu’aucun motif matériel ne les y pousse ? Quels bénéfices psychiques une relation où les autres sont trompés procure-t-elle au menteur ?Pourquoi l’enfant ment-il ?Plusieurs raisons peuvent expliquer pourquoi un enfant a recours au mensonge. L'enfant qui ment peut vouloir se sentir valorisé, éviter une responsabilité ou craindre une qu'il en soit, l’enfant ignorerait le mensonge avant l’âge de 6 à 7 ans. Avant cet âge, l'enfant altère souvent la réalité, mais de façon inconsciente et sans intention de nuire. Le portrait-robot du mythomaneParce que l’aveu est insupportable, les mythomanes deviennent vite de grands mythomane se doit d’être cru sinon tout s’écroule et son monde imaginaire s’effondre. Il met donc tout en œuvre pour être le plus précis possible, s’alimentant du réel, puisant çà et là des fragments de n’est laissé au hasard, tout est pensé pour que la fabulation soit du mythomaneLe mythomane est typiquement fragile, hyperémotif, soumis à une forte dépendance au regard des autres et dont les facultés de l’imagination sont que soit son profil, il apparaît souvent la première victime de ses histoires imaginaires, qu’il peine à distinguer de la réalité. Que faire face à un mythomane ?Face à un mythomane, il est recommandé de ne pas prêter attention à ses mensonges, au risque de l’enfoncer encore plus dans ce qu’il croit être la même, il n’est pas recommandé d’aller violemment à l’encontre de ce qu’il raconte, au risque d’entraîner une obstination dans laquelle il aurait encore plus de mal à meilleure solution est d’aider petit à petit le mythomane à prendre conscience de la fausseté de sa réalité. Pour cela, vous pouvez confronter son discours avec des éléments qui ne sont pas en adéquation avec celui-ci, tout en ayant à l’esprit que la mythomanie peut être une maladie est donc inutile de rabâcher en permanence à un mythomane qu’il est le traitement le plus adapté ?La thérapie est le traitement le plus recommandé face à un mythomane. Mais, encore faut-il que le mythomane soit demandeur et accepte de participer à une thérapie pour l'aider. Le mythomane est-il un menteur ?Dans son ouvrage intitulé Petit traité des perversions morales », A. Eiguer définit la mythomanie » comme une forme de mystification envers les autres, mais aussi envers le mythomane se crée un personnage valorisant auquel il adhère avec une détermination telle qu’il parvient à convaincre son entourage. Les mythomanes doivent croire sincèrement aux histoires qu’ils racontent et aux personnages qu’ils inventent pour pouvoir mieux convaincre les autres. Même si ce n’est pas le cas au début, ils finissent par se prendre à leur propre jeu ».Autrement dit, les mythomanes commencent par mentir, puis finissent par s’approprier le thème de leur théorie a vu le jour en 1891 sous l’impulsion du psychiatre A. Delbrück pour décrire et expliquer ce phénomène la théorie de la pseudologia-phantistica. Le médecin considère ce phénomène comme un rêve diurne raconté à l’autre comme si c’était la réalité, et sans volonté de tromper. Qu’arrive-t-il lorsque le mythomane est démasqué ?C’est le pire scénario pour un mythomane être découvert. C’est un moment qu’il vit de façon extrêmement angoissante et qui le pousse à emprunter plusieurs chemins embrayer sur un nouveau mensonge ;s’enfoncer dans la dépression ;fuir dans un ailleurs où tout peut être mythomanie aujourd’huiLa mythomanie s’apparente aujourd’hui à une pathologie caractérisée par des propos mensongers auxquels son auteur croit élabore des scénarios, des événements, des actes et des personnages qui n’ont jamais eu lieu ou n’existent pas. Il se dit acteur ou témoin d’une histoire qu’il a lui-même imaginée et qui le place souvent dans une position mythomane finit par agir partiellement ou totalement en fonction de sa production imaginaire. N’ayant pas la force d'exister dans le réel, ils ne savent pas réellement qui ils sont, puisqu'ils ne s'identifient que par l'imaginaire » précise ainsi le psychiatre Boris Cyrulnik. Il s’agit donc d’un moyen de fuir une réalité inacceptable ou difficile à affronter sans le psychiatre Bomstein, c’est une défense de l'organisme contre un sentiment d'infériorité et de régression ».Par une décision presque inconsciente et pour éviter une frustration, le mythomane s'enferme dans un univers factice où le réel et la fiction se confondent. Dans la plupart des cas, ce processus tend à s’étaler très longtemps dans le temps. Le menteur [... ] agit avec l'intention de donner une fausse information. Il a toujours le choix entre dire la vérité ou pas, et il connaît la différence entre les deux. Les mythomanes, qui savent qu'ils ne disent pas la vérité [... ], sont incapables de maîtriser leur comportement [... ] et ne sont pas conscients de mentir » Paul Ekman. Citations inspirantes Se cacher est un plaisir, mais n’être pas trouvé est une catastrophe » D. W. Winnicott Le mythomane [... ] ne se contente pas de prendre ses désirs pour des réalités, ou de nier une réalité pénible. [Le mythomane] cherche [.. ] à modifier le monde réel à son profit, par l'intermédiaire de la croyance d'autrui. » Guy Durandin95% Des lecteurs ont trouvé cet article utile Et vous ?Cet article vous-a-t-il été utile ?À lire aussi Publié le 29-10-2014 à 12h11 - Modifié à 13h3076 réactions 1396076 lu Temps de lecture 4 minutesLE PLUS. Ces derniers jours, deux témoignages de victimes de pervers narcissiques ont suscité beaucoup de réactions sur Le Plus. L'occasion de faire un point sur ces personnes qui pourrissent la vie de certains qui sont-elles ? Comment les reconnaître ? Réponse de Christel Petitcollin, psychothérapeute et auteure de "Échapper aux manipulateurs" éditions Trédaniel.Édité et parrainé par Rozenn Les pervers narcissiques portent un masque en public Flickr/kynan tait/CC Depuis quelque temps, on parle beaucoup de perversion narcissique. À trop l’évoquer, tout le monde s’en empare et vide le terme de sa substance. On brouille les pistes. C’est pourquoi je préfère parler de manipulation, car c’est ce qu’il se passe au niveau relationnel. Plusieurs critères permettent d’identifier ce comportement. Un manipulateur est une personne qui a deux visages, quatre ficelles et trois fonds de pensées principaux. En réalité, dire que cette personne a deux visages n’est pas tout à fait vrai. Cela peut laisser entendre qu’elle a un visage sympathique, et que l’autre ne l’est pas, or le premier n’est qu’un masque porté à l’extérieur. Il serait donc plus correct de parler d’un masque et d’un visage ces gens sont profondément malveillants, il ne faut pas leur prêter une humanité qu’ils n’ont pas. Les manipulateurs sont des anges en public, on leur donnerait le bon dieu sans confession, mais ils sont moroses à l’intérieur. Or, les victimes sont les seules à voir ce qu’il se cache sous le masque. Ils utilisent 4 ficelles pour manipuler Pour arriver à leurs fins, ils utilisent quatre ficelles, toujours les mêmes, ils ne savent faire que ça. 1. La séduction ♦ Par les flatteries La séduction est faite de flatteries, et ça marche. La fontaine dit "tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute", mais il n’a pas pris en compte que l’on a tous un égo à nourrir. Certains seront moins sensibles aux compliments physiques, mais on a tous nos failles. Quelle mère peut rester insensible aux compliments sur ses enfants, par exemple ? Nous sommes, par conséquent, tous susceptibles de tomber dans le panneau. ♦ Par les promesses Les manipulateurs sont des personnes qui vont vous faire énormément de promesses, qui ont des solutions pour tous les problèmes. Ce sont de véritables couteaux suisses. Là aussi, il est difficile de résister. On peut mettre des jours, des mois, voire des années à s’apercevoir qu’ils n’ont pas tenu leurs promesses. ♦ Par le mimétisme Le mimétisme est l’aspect le plus redoutable de cette manipulation. Ces personnes se mettent en miroir, elles pensent comme vous, disent ce que vous voulez entendre, sont de votre avis, partagent vos valeurs, aiment les mêmes choses que vous. Comment y résister ? 2. La victimisation Les manipulateurs ont une coquille de Calimero en acier trempé. Ils se retrouvent toujours dans la posture de la victime, pleurnichent, jouent la comédie, et ça fonctionne au point que l'on oublie les vraies victimes. Ils sont dans la paranoïa haut de gamme, ont l’art de retourner les situations pour que ce soient eux que l’on prenne en pitié. 3. L’intimidation Ces personnes sont en permanence dans le rapport de force, le chantage affectif. Il y en a qui sont directs – "si tu me quittes, je te tues" – et d’autres chez qui c’est beaucoup plus insidieux. Toujours est-il que, petit à petit, on se met à les craindre. 4. La culpabilisation Ce sont des gens qui vont se débrouiller pour que rien ne soit jamais de leur faute. C’est toujours vous le problème, toujours la faute des autres. Trois pensées occupent majoritairement leur esprits Outre ces "ficelles", les manipulateurs ont trois fonds de pensée principaux, c’est-à-dire trois choses auxquelles ils pensent en priorité en vous regardant. 1. "Cause toujours" Un manipulateur se fiche de toutes les remarques que vous pouvez lui faire. Je parle dans mon livre des hectolitres de salive que les victimes utilisent en vain. Quoi qu’il en soit, le manipulateur n’en fera qu’à sa tête. 2. "Tiens, ça te fera les pieds" Ils adorent vous compliquer la vie, sont plein de représailles et de malveillance gratuite. 3. "Rendors-toi" Quand un manipulateur se rend compte que la victime prend conscience, commence à se révolter ou menace de le quitter, il est dans la phase "rendors-toi", c’est-à-dire qu’il redevient gentil et adorable par calcul. On revient donc à la ficelle de la séduction, et c’est un cercle vicieux. On ne peut pas soigner un manipulateur Les manipulateurs sont, de manière générale, profondément malveillants. Ils traversent la vie en étant bourrés de colère, ce sont des boules de haine. Ce qui différencie les pervers narcissiques des manipulateurs plus "ordinaires", c’est leur niveau de sadisme et de cruauté. Quant à savoir d’où vient cette malveillance, la réponse est compliquée. Certains auteurs mettent ça sur le compte de l’inceste. Je ne l’affirmerais pas de cette façon, mais je me rends compte, dans ma pratique quotidienne, qu’un manipulateur a souvent une relation déjà perverse avec l’un de ses parents, son frère ou sa sœur. Pour moi, il n’est pas possible de soigner ces personnes, et cela pour plusieurs raisons simples. - Tout d’abord parce qu’ils ne sont pas demandeurs de soins, ils sont fiers de ce qu’ils sont et ne se reconnaissent pas comme ayant un problème. - Ensuite, leur système de pensée est par ailleurs verrouillé face à l’autocritique, or on ne peut pas travailler correctement en thérapie si la personne n’assume pas sa part de responsabilité. - Enfin, les manipulateurs mentent aux psy, ce qui donne un matériel faussé. Quand je les reçois, je vois bien qu’ils ne viennent en séance que pour rendormir leur victime. Le manipulateur ne va voir un psy que pour donner l’illusion qu’il va changer. En général, il ne vient qu’à deux rendez-vous et annule la troisième séance, quand il voit que je l’ai découvert. Un cadrage est par contre possible et nécessaire À défaut de pouvoir les soigner, je pense par contre que nous pouvons les cadrer. Un manipulateur cadré, à qui on ne laisse plus d’espace de nuire, devient calme et inoffensif. Ce cadrage commence par la prise de conscience de la société, c’est à elle d’être plus mature. Il faut arrêter de victimiser les manipulateurs et de minimiser, voire passer sous silence, la parole des victimes. Arrêter ce tour de passe-passe qui consiste à se tromper tout le temps de cible. C’est l’ambiance générale de notre société qui leur donne cette impunité. Pour ne plus être manipulable, il faut avant tout accepter l’idée que ces gens-là existent, qu’ils sont délibérément malveillants et sournois. Ensuite, il faut fixer des limites à sa propre gentillesse trop bon, trop... et pratiquer l’affirmation tranquille de soi. Le respect de soi, ça ne se réclame pas, ça s’impose. C’est à vous de signifier vos limites aux autres. Avec un manipulateur, cela devient une nécessité vitale. Propos recueillis par Rozenn Le Carboulec. En savoir + sur ce sujet>> Le témoignage de Marie Murski, victime d'un pervers narcissique. >> Le récit de Vincent P., qui a vécu 7 mois avec une femme manipulatrice. kermance a posté le 7 mars 2017 à 00h05Le portrait de base du pervers narcissique recouvre un peu trop facilement le portrait de n'importe quelle personne intelligente en quête de sécurité. Dire que ce sont des "boules de malveillances" est quasi angéliste. Un peu comme s'il existait du tout noir, et du tout blanc, ce qui n'est pas le cas. Ça me pose un problème de lire sans cesse que la capacité d'agir et de prévoir est une tare, de lire que quoiqu'il arrive untel est un sale pervers parce qu'il ne sait pas se soumettre aux règles sociétales admises. Ça me fatigue, ces définitions violentes, qui cherchent à prouver que personne ne fait "çà", sauf "eux". C'est mentir que de penser que les gens "normaux" ne sont pas capables de comportements pervers. Moi je pense que la seule chose qui permet de reconnaître une personne nocive est sa nocivité récurrente, justement. Je pense qu'on ne peut savoir qu'une personne est perverse à moins de voir l'usage qu'elle en fait à travers plusieurs relations. Je pense que la malignité se constate, qu'elle ne se théorise pas. Votre description est un ramassis de peurs, pas un théorème. En d'autres termes, vous jetez sur d'autres vos passions détestables pour en faire un portrait du mal. On se croirait au 18ème siècle où tout ce qui n'était pas pieux était diable. Je ne crois pas que tout le mal que vous en pensez soit vrai et a posté le 30 décembre 2016 à 18h25Ils aiment vous compliquer la vie, sont plein de représailles et de malveillance gratuite. ces gens sont en permanence dans le rapport de force, le chantage affectif...rabbit a posté le 3 mars 2016 à 09h37Bonjour, je suis un " manipuler " oui mais je ne fait jamais de mal aux autre avant oui . la victimisation L’intimidation et la culpabilisation, ne sont pas les seul moyen. personellement je ne les utilise pas. et jarive pratiqument toujour a mon but. "Ces personnes sont en permanence dans le rapport de force," ce n'ai pas exact, effectivement j'aime etre meilleur, mais cela ne me derange pas ci je ne le suis pas. les metode que vous enonce sont tros visible. manipule ne pas forcement mauvais . ps je m'excuse d'avance pour mais faute de francais54aaa5fadacd3 a posté le 13 février 2016 à 06h07Bonjour, Vous me faites sourire, toujours des "à peu prés comme cela" les manipulateurs... Toujours cette notion de "portrait chinois". Croyez vous qu'ils soient bêtes? Certes certains s'ignorent, mais ils savent le pouvoir qu'ils ont sur les autres et l'utilisent "just for fun" parfois. Si vous voulez vraiment voir des techniques utilisées par les manipulateurs, visitez mon blog. Et si vous êtes vraiment manipulée, n'hésitez pas à me contacter, il n'y a que deux moyens de combattre, la fuite et vous reniez ce que vous êtes en baissant les bras, ce qui vous suivra ou la contre manipulation. Bon courage à tous ceux qui cherchent encore des "pourquoi est il ou est elle ainsi" au lieu de chercher des "Comment m'en sortir" parce que vous pas vraiment dans le chemin de la sortie. Eponyme. a posté le 4 février 2016 à 14h26Bonjour a tous , moi j ai passé 26 a avec une femme qui me faisait pleurer tout les dimanche matin, en me ressassant toujours mes defauts , ce que j avais pu dire ou faire, critiquant egalement les defauts de mes proches. Apres m avoir foutu psychologiquement comme une serpillere elle me faisait l amour comme une déesse, elle avait besoin de m ecraser pour pouvoir en jouir ensuite. Vous allez me dire que j aurai du fuir depuis longtemps, mais j en etais fou amoureux depuis mes 17 ans , aujourd hui je temoignes ici et j en ai 43 mais mon coeur est en cendre. Coup de gueule au manipulateurs arreter c a , vous ne vous rendez pas conte le mal que vous faitesbbdd a posté le 21 décembre 2015 à 16h34Les PN, les psychopathes et les sociopathes appartiennent à la même famille d'affliction psychologique Celle de l'empathie atrophiée, voire inexistante. ... Or l'empathie naturelle est régulée par une hormone L'Ocytocine la fameuse "molécule du bonheur". L’Ocytocine est une hormone qui joue un rôle essentiel dans la sociabilité, l’empathie, les comportements parentaux, la confiance et d'autres déterminants comportementaux qui contribuent à construire une société stable. Lorsque qu’une déficience sur cette hormone ou ses récepteurs est détectée, elle peut aussi être associée à des problèmes sur les comportements prosociaux sociopathes, triade noire, psychopathes, machiavéliques, narcissiques, et/ou manipulateurs. Les PN ont donc un problème lié aux récepteurs OXTR de l'Ocytocine. Ces récepteurs sont moins nombreux ou fonctionnent moins bien chez un PN que chez une personne a posté le 24 août 2015 à 13h42Est ce que tous les manipulateurs ont conscience d'être des manipulateurs?LONGTEMPSAVEUGLE a posté le 24 août 2015 à 12h09Pour ma part, je ne veux pas utiliser le terme pervers narcissique mais ma thérapeute m'a bien confirmé qu'il était manipulateur et j'en suis convaincue. Ça fait 15 ans que nous sommes ensemble avec des hauts et des bas comme à chaque couple. Nous avons 3 enfants. Depuis 2/3 ans, il m'a évoqué son "projet" de divorce et jusqu'à présent, il le mène jusqu'au bout. Il a toujours eu ce qu'il voulait dans la vie et j'ai toujours été une oreille attentive et je pense qu'il me connait suffisamment pour savoir quelle genre de personne je suis. Mais depuis 2/3 ans, il a changé radicalement entre insulte envers ma famille, mes amies, mes connaissances, mes relations. Lui qui, devant ses parents, se valorisait en disant avoir une bonne épouse et une bonne mère pour ses enfants ; Son discours est tout autre. 2 ans d'acharnement et qui plus est, depuis qu'il a vu son avocat, il se fait passer pour une victime. J'ai vécu une période difficile dans mon enfance et ça m'a rattrapé allant jusqu'à un procès. Depuis ça, j'avoue ne plus être la même et j'avais besoin d'aide. C'est chose faite depuis quelque temps puisque je suis une thérapie qui me fait du bien réellement. Je peux mettre des mots sur tout ce que je vis et fais. Concernant mon couple, je me rends compte que je n'étais rien pour cette homme. C'est là que je constate que je n'ai pas la même attention, la même écoute, le même soutien de mon mari et qu'il n'hésite pas à me "briser" avec une telle viLONGTEMPSAVEUGLE a posté le 24 août 2015 à 11h52C'est affreux de se reconnaître dans un article ! Je vis depuis le départ une relation dite toxique et je ne m'en rends compte que depuis quelques mois du fait d'un divorce qui se profile. Notre relation a démarré très/trop vite et la vie a poursuivi son cours... Enfants, boulot, routine. Pour ma part, j'ai arrêté de bosser pour m'occuper de notre premier enfant. Lui a poursuivi sa "carrière", changeant d'employeur pour finir par être embauché là où il souhaitait tant entrer ! Pendant ce temps là, je me suis isolée petit à petit dans ma vie de maman ne voyant plus mes amies, ma famille. Je ne prenais même plus soin de moi et ça ne dérangeait pas plus que ça mon compagnon. J'ai vécu des évènements assez difficiles dans ma jeunesse qui ont refait surface dans ma vie, affectant aussi ma vie de couple. Malheureusement, c'est là que je constate que je n'ai pas la même attention, la même écoute, le même soutien de mon mari et qu'il n'hésite pas à me "briser" avec une telle violence psychologique, verbale, morale, mentale et jamais il ne se remet en question ! Je ne reconnais pas du tout cette personne. Je ne m'attendais pas à autant de violence et de manipulation de sa part. Il a été capable d'obtenir tout ce qu'il désirait au cours de ces années passées ensemble et lorsqu'il n'a pas ce qu'il veut, il devient un monstre à vous culpabiliser et vous fragiliser dans le peu d'estime que vous avez déjà en vous. Il n'hésite pas se comparer à voLONGTEMPSAVEUGLE a posté le 24 août 2015 à 11h49C'est affreux de se reconnaître dans un article ! Je vis depuis le départ une relation dite toxique et je ne m'en rends compte que depuis quelques mois du fait d'un divorce qui se profile. Notre relation a démarré très/trop vite et la vie a poursuivi son cours... Enfants, boulot, routine. Pour ma part, j'ai arrêté de bosser pour m'occuper de notre premier enfant. Lui a poursuivi sa "carrière", changeant d'employeur pour finir par être embauché là où il souhaitait tant entrer ! Pendant ce temps là, je me suis isolée petit à petit dans ma vie de maman ne voyant plus mes amies, ma famille. Je ne prenais même plus soin de moi et ça ne dérangeait pas plus que ça mon compagnon. J'ai vécu des évènements assez difficiles dans ma jeunesse qui ont refait surface dans ma vie, affectant aussi ma vie de couple. Malheureusement, c'est là que je constate que je n'ai pas la même attention, la même écoute, le même soutien de mon mari et qu'il n'hésite pas à me "briser" avec une telle violence psychologique, verbale, morale, mentale et jamais il ne se remet en question ! Je ne reconnais pas du tout cette personne. Je ne m'attendais pas à autant de violence et de manipulation de sa part. Il a été capable d'obtenir tout ce qu'il désirait au cours de ces années passées ensemble et lorsqu'il n'a pas ce qu'il veut, il devient un monstre à vous culpabiliser et vous fragiliser dans le peu d'estime que vous avez déjà en vous. Il n'hésite pas se comparer à voLONGTEMPSAVEUGLE a posté le 24 août 2015 à 12h15Il n'hésite pas se comparer à vous dans tous les domaines de la vie famille, emploi, vie sociale, .... Et jamais il ne se remet en question. J'essaie de me reprendre en main en tenant plus compte de ses remarques négligentes, de ses agressions verbales à répétition et ses méchancetés gratuites. J'essaie de faire, de nouveau, attention à moi et redevenir la fille souriante et aimant rire pour un rien. J'essaie également de prendre soin de moi physiquement parlant. J'ai compris qu'il n'a aucune confiance en lui du fait qu'il ne se sent pas beau ; J'ai compris que c'est une personne égocentrique et égoïste et qu'effectivement, je suis bien dans une relation de couple toxique et que LUI ne changera jamais. Il me promettait beaucoup de choses mais au final, rien ne changeait. Je me remettais souvent en question du fait de ses petites piques mais quand on vit en couple, on est deux. Les deux personnes se doivent de faire des pas ENSEMBLE et pas toujours la même personne. L'amour est important certes ; La communication encore plus ! Et c'est également son plus gros défaut !mimicha25 a posté le 20 août 2015 à 15h11Bonjour, J'ai été élevé par un PN, ce qui m'a valu une belle psychothérapie..... Je voudrais juste apporter deux trois précisions quant à leur mode de fonctionnement. Un PN est un être souvent supérieurement intelligent et magnétique. Il attire ses proies comme une sirène, promet, charme, séduit, adore... Une fois la proie "accrochée", il commence à montrer sa vraie nature. Il humilie, rabaisse, culpabilise, utilise, abuse. Si la victime semble reprendre ses esprits, il revient en effet à la phase "séduction" pour recommencer en pire après. Il choisit des personnes affectivement dépendantes ou les rend dépendantes, souvent par l'argent, qui seront piégées et dont il pourra jouer à sa guise. Le seul moyen de se défaire de l'emprise d'un PN est de couper les ponts, de stopper toute relation. La moindre faille et il s'y engouffre !!! J'ai fait ce choix à presque 40 ans pour me protéger et protéger mes enfants et Dieu sait que la vie est plus belle depuis. J'espère que ce message trouvera écho chez certains d'entre a posté le 4 février 2016 à 14h49Bonjour comme j ecris dans mon article moi ma femme est comme decrit dans votre article .Elle m humilie jusqu a me faire pleurer et ensuite me fait l amour comme si j etais son trophé ! J ai 43 ans et mon coeur est en cendre et pas que ,Bboy a posté le 7 avril 2015 à 06h01C'est un sujet qui m'effraie depuis quelques temps, me retrouvant énormément dans ces descriptions. Entre la manipulation, la séduction, et à l'époque sans le vouloir la victimisation, cette nouvelle appellation fut un certain choque quand je l'ai découvert. J'ai toujours eu honte de faire souffrir des gens parfois par vengeance, en s'avant très bien ou j'allais. L'un des points ou je ne me retrouve pas est l'absence total d'excuses ou de remise en question; je me rends compte de mes erreurs, m'en veux, et essaies de les supprimer. Mais c'est souvent fait inconsciemment et ne réalise mes erreurs qu'après cout, je ne m'en rends pas compte dans l'acte. Que penser de tout ça?ptitpere a posté le 15 janvier 2015 à 22h31Le portrait dressé ressemble fort aux gens qui nous dirigent et au Système dans lequel nous évoluons, non?ylianestevez a posté le 30 mai 2015 à 14h28J'allais écrire un commentaire pour dire la même chose. c'est le portrait craché de l'immense majorité de la classe politique. Tout y est séduction, promesses, menaces, rendors-toi, mimétisme et surtout "cause toujours". Rien ne manque, c'est une démonstration quasi mathématique. a posté le 25 septembre 2015 à 11h51On se demande pourquoi les gens votent pour ce genre de personnesAfra a posté le 4 novembre 2014 à 14h36Le pervers narcissique a quelque chose du vampire. C'est un être vide qui vit aux dépens et à travers l'autre sans lequel il n'est rien afin d'éviter la confrontation avec soi, soit la contemplation du néant. En cela il est pathétique. C'est un infirme. Et que se passe t-il lorsque deux pervers narcissiques se rencontrent ? Ils se reconnaissent et proclament le match nul ?minapulateur a posté le 7 novembre 2014 à 08h57Quand 2 PN se rencontrent c'est le plus PN des deux qui prend le pouvoir, en général ils s'acharnent sur une troisième personne. Mais les PN vont de préférence vers des gens intelligents, et a posté le 3 novembre 2014 à 23h21L'homme est un loup pour l'homme. La séduction, la culpabilisation, c'est la vente, c'est la politique, c'est notre monde. Vous êtes séduit par une pub, manipuler par de beau discours de presse sans même vous en rendre compte. La loi du plus fort ne ce fait plus à celui qui tape le plus fort, mais à celui qui contrôle le mieux, donc celui qui manipule le mieux. Le cadrage que vous souhaitez par la société est impossible car cette société elle même tient par une manipulation des masses et des jeux de relation et de réseau. Il n 'y à rien de malsain à manipuler dans un monde dure, ou les moutons n'ont que le rôle d'obéir. Ou l'individualisme est devenu monnaie courante même dans les couples. Sauf qu'une fois qu'on à compris dans quel monde on était tombé, il suffit de jouer d'empathie, de renforcer l'estime de soi des individus en saupoudrant sa de séduction et vous contrôlez les soi disant moraliste avec leurs beau discours, et qui en réalité son encore les plus narcissique de tous. . C'est une arme pour répondre à ses besoins, son accomplissement, mais aussi parfois la réussite de ses proches il y à du mauvais, mais du bon dans l'art de manipuler, tous dépend les valeurs personnel du manipulateur, mais ne pas l’être un minimum, c'est ne pas savoir ce défendre contre et d’être condamné à toujours être le mouton qui ce fait avoir. PS dsl pour les fautes d'orthographes impossible de me relire depuis mon mobilcococoincoin a posté le 3 novembre 2014 à 23h15L'homme est un loup pour l'homme. La séduction, la culpabilisation, c'est la vente, c'est la politique, c'est notre monde. Vous êtes séduit par une pub, manipuler par de beau discours de presse sans même vous en rendre compte. La loi du plus fort ne ce fait plus à celui qui tape le plus fort, mais à celui qui contrôle le mieux, donc celui qui manipule le mieux. Le cadrage que vous souhaitez par la société est impossible car cette société elle même tient par une manipulation des masses et des jeux de relation et de réseau. Il n 'y à rien de malsain à manipuler dans un monde dure, ou les moutons n'ont que le rôle d'obéir. Ou l'individualisme est devenu monnaie courante même dans les couples. Sauf qu'une fois qu'on à compris dans quel monde on était tombé, il suffit de jouer d'empathie, de renforcer l'estime de soi des individus en saupoudrant sa de séduction et vous contrôlez les soi disant moraliste avec leurs beau discours, et qui en réalité son encore les plus narcissique de tous. . C'est une arme pour répondre à ses besoins, son accomplissement, mais aussi parfois la réussite de ses proches il y à du mauvais, mais du bon dans l'art de manipuler, tous dépend les valeurs personnel du manipulateur, mais ne pas l’être un minimum, c'est ne pas savoir ce défendre contre et d’être condamné à toujours être le mouton qui ce fait avoir. PS dsl pour les fautes d'orthographes impossible de me relire depuis mon mobilpilivillechaize a posté le 1 novembre 2014 à 16h13Cette description correspond parfaitement à mon père, comme Josiane. Mais elle me correspond aussi en partie et je me suis énormément retrouvé dans ce que Francis Richard a dit. Je suis une manipulatrice, c'est comme ça, et je me demande dans quel cas la génétique ou en tout cas l'environnement dans lequel nous grandissons n'y serait pas pour quelque chose... Chaque personne est comme un puzzle que j'arrive en résoudre en à peine quelque minute, même si c'est la première fois que je la rencontre. Je sais où appuyer et comment pour faire mal, je sais mettre en place des manipulations complexe qui prenne beaucoup de temps pour arriver a mes fins. Si je le voulais, je pourrais être absolument horrible. Et si je faisais comme mon père, je pourrai bousiller bon nombre de gens. Mais il y a une chose qui pour mon cas est différente et qui me fait dire que l'éducation que nous recevons peut être salvatrice ou non lorsque enfant, ma famille maternelle s'est aperçu de ce que je faisais et de ce dont j'étais capable, elle a eu l'intelligence de ne pas me gronder, mais de m'expliquer ce que ça leur faisait. Et lorsque je me montrais "gentille", elle me félicitait. Ils m'ont appris énormément de normes et de valeur qui m'ont permis de créer une espèce de "code d'honneur" dont je ne m'écarte presque jamais. Si bien qu'à présent, même si il est vrai que je me cache derrière un masque de "moralité" comme la si bien dit Mr Richard, je mets cette manipulation huynhtran a posté le 1 novembre 2014 à 16h51Pili " Je sais mettre en place des manipulations complexe qui prenne beaucoup de temps pour arriver à mes fins". En dehors de votre talent d'organisatrice, d'ingénieures manip, de technicienne de manip, il y a encore la question des "fins". Pourriez-vous nous dire un peu plus sur la finalité qui vous pousse à actualiser vos talents de manip ? Puisque la manip est une action, une activité et que toute activité est déclenchée par une finalité, laquelle est le premier élément moteur dans la conception, mais le dernier dans l'exécution, dans le résultat , c'est le cas de le dire, "final", il devrait y avoir un but, un bien qui se cache sous votre activité. Est-ce que je me trompe ? De quelle nature est-il ce bien qui constitue votre but, qui est ressenti comme digne de faire l'objet de votre option, de votre détermination, de votre préférence ?pilivillechaize a posté le 2 novembre 2014 à 14h48Lorsque je mets en place ce genre de choses, c'est toujours pour obtenir ce que je veux. Malheureusement c'est l'avantage personnel qui prime si l'ont me blesse, c'est la vengeance et dans ce cas, vous pouvez être sur que je ferai tout pour réduire à néant ma cible, même si ça doit se faire très lentement et prendre 1 an. L'idée que l'ont puisse éventuellement m’atteindre m'est insupportable et intolérable. Même si ce n'est qu'une "égratignure", je dois lui faire encore plus mal. Mais la plupart du temps, c'est me rapprocher de quelqu'un qui possède quelque chose qui m’intéresse et que je désir en gagnant sa confiance, en jouant sur ses failles, jusqu'à "l'endormir" et qu'il partage avec moi ce que je convoite, s'imaginant qu'il le fait de son propre chef, que ce soit un secret, une capacité, un talent, une émotion, une connaissance dans un domaines... Tout m’intéresse. Souvent je fais en sorte qu'il pense m'être redevable pour pouvoir tiré partie de son "bien" au moment où je le veux. Peut m'importe le temps que ça prend, seul le résultat m’intéresse. Les objets et l'argent ne m’intéresse absolument pas en revanche. Je n'en ai que faire, parce que ça ne "m'apporte" rien. Voir comment les autres fonctionne, comment ils réagissent, comment ils appréhendent les choses de la vie, les émotions, les sentiment, l'intelligence, les qualités... Tout cela me fascine en revanche. En apprenant "comment ils font", ça me permet de me fondre un pejosy2b a posté le 1 novembre 2014 à 13h56quand je lis ligne après ligne votre article je vois mon père et franchement ça me sidère de voir avec quelle exactitude vous le décrivez ,heureusement que j'ai vu clair en lui il y a quelques années mais il m'a tenu sous son emprise pendant 45 ans!!! bien qu'il n'a plus le pouvoir de me faire souffrir comme avant ,de temps en temps il me fait me sentir coupable, heureusement grâce à mon mari je reviens vite sur terrehuynhtran a posté le 1 novembre 2014 à 13h24 francis richard Je vous crois volontiers sincère d'autant plus que la description que vous faites de vous-même, de votre sagacité, de votre perspicacité, de votre vue pénétrante qu'on dirait celle d'un scanner, au lieu de s'ériger en complaisance, se dit "amorale" sans valeur par rapport à nos critères moraux vulgaires. Je pense aussi, comme vous, que les critères soi-disant moraux n'ont qu'une valeur relative. Relative à quoi ? A l'affectivité, à cette sorte de spontanéité qui nous dit que nous sommes bienveillants, que nous savons réfréner nos méchancetés. Ca ne va pas très loin. Je suis pourtant perplexe si vous voyez si clairement les mobiles qui nous font agir, vous devriez aussi voir vos propres mobiles et alors la question se pose quelle est la motivation qui vous met en branle pour nous pondre ce post ? Quelle est votre intention en manifestant votre "amoralité" ? Pourriez-vous nous faire connaître un peu mieux, à nous les soi-disant moraux, ce qui se passe dans le psychisme d'un "amoral" ? Vous voyez bien, trop bien même, ce qui fait marcher les "moraux", mais il nous est difficile de voir ce qui fait marcher l'amoral ? Quel est le metteur en scène qui vous fait "jouer un rôle " ?jeanmichelfortin a posté le 1 novembre 2014 à 11h50J'ai trouvé cet article intéressant car clair et limpide pour un sujet pourtant complexe. J'ose donc ajouté à la réflexion que le pervers narcissique ne peut survivre qu'avec la complicité inconsciente de son entourage silencieux, ce que souligne par ailleurs l'article dans la rubrique de cadrage. A force d'entendre que c'est la nature humaine, que la vie est une jungle, qu'il faut se battre, certains pensent pouvoir échapper à ce type de personne jusqu'au jour où cela leur arrive. Octroyer du pouvoir sur les autres à ce type de personne est aussi répréhensible au donneur d'ordre qu'à l'agissant. C'est pourquoi je pense que la prise de conscience souhaitée ne pourra avoir lieu qu'à l'aide une réglementation stricte comme le code de la route, une sorte de code de la vie en quelque sorte. Nos législateurs et autres détenteurs de pouvoir restent trop timides en la matière, sans doute, imprégnés eux-même, pour une grande part par ce narcissisme nécessaire à leur survie?leulapin a posté le 3 novembre 2014 à 18h20C'est surtout que la loi ne peut pas juger des intentions ni des moyens, juste du résultat d'une nuisance. Il est légalement interdit de porter atteinte à l'intégrité des gens, ce cadre est suffisant. Comme dit dans l'article le pb est plutôt dans le silence de l'entourage qu'un problème d'autorité supérieure qui serait a posté le 1 novembre 2014 à 07h31A aucun moment il n'est fait mention de perverses narcissiques, comme si les femmes étaient vierges de tout défaut, comme c'est amusant. Il est bon de savoir qui sont les experts qui parlent .... Je vous invite à faire un tour sur son site et dans ses récits l homme est toujours en faute, jamais la femme, il n y a pas de perverses, il n'y a que des pervers narcissiques pour petitcollin. On est face à la chantal perrichon des psy ... en clair, une anti-mec qui a trouvé un prétexte pour se défouler. Je croyais qu'on était pour l"égalité homme-femme ? Cela commence aussi par reconnaitre ses torts en tant que femme, ne croyez vous pas ?guillaume-bassand a posté le 30 novembre -1 à 00h00Bonjour Jesse, Je vous invite à lire ses livres, notamment "Enfants de manipulateur". Vous y verriez dès les premières pages que l'utilisation des termes descriptif au masculin ne l'est que par souci de simplification et qu'elle reconnaît l'existence des perverses narcissiques. Elle signale bien que c'est surtout le manque de témoignages d'hommes victimes, qui consultent statistiquement moins que les femmes, qui lui impose de ne pas être catégorique et définitive sur la version féminine qui fonctionne légèrement différemment de la version masculine du pervers narcissique. Je trouve donc en cela sa démarche plutôt saine. Il ne tient qu'aux hommes victimes d'analyser et partager leur témoignages mais dans une démarche dénuée de toute vengeance. Pour le savoir et la a posté le 1 novembre 2014 à 12h21bonjour jesse mach je peux vous garantir qu'il y a des "perverse" j'en connais je pense juste que l'article est au masculin car il généralise c'est tout anaismiremont a posté le 2 novembre 2014 à 12h56J'pense simplement que l'article est mit directement au masculin mais qu'il vise autant l'homme que la femme. "Un manipulateur est une personne qui a deux visages, quatre ficelles et trois fonds de pensées principaux." Apprenez à lire, sachant que le masculin l'emporte toujours sur le féminin, et que la personne ayant écrit cette article n'allait pas s'amuser à tout mettre au féminin en plus du masculin, il était donc inutile de vociférer autant d' a posté le 3 novembre 2014 à 23h37Et pourquoi pas ? Pourquoi ne pas préciser qu'un pervers peut se conjuguer au féminin ? ça ne prend que quelques mots ... Tout ça a une petit odeur, et je n'aime pas le ton que vous employez. Apprenez à réfléchir et à vous calmer avant de me a posté le 4 novembre 2014 à 06h56La coquille vide, le ptit couteau suisse n'a ,semble t-il pas apprécié la description ! La coquille vide est aveuglée par la rage ..et incapable de lire les mots ..c'est dommage .. il faudrait réapprendre à lire , CALMEMENT , petite coquille vide .. sans s'énerver .. Paranoïaque haut de gamme .. Votre pb vital est que cela ne se soigne pas , sniff! Je vous plainsRosalielili a posté le 5 novembre 2014 à 17h49Essai de réponse .. ça ne fonctionne pas ,sniffRosalielili a posté le 5 novembre 2014 à 17h50voir la réponse de Rosalieliligiovannielmappi a posté le 11 décembre 2014 à 11h22Vous avez eu deux réponses "calmes" avant d'avoir celle-ci. Et le ton employé dans celle-ci n'est pas plus "hautain", ou "excité" que votre premier post, modèle du genre, qui combine "Victimisation" ouin, je suis un homme, et on dit du mal des hommes , "paranoïa" c'est surement fait pour attaquer la virilité masculine, "déformation des propos" Elle a dit que les femmes étaient parfaites et "argumentation ad nominem" Elle se défoule sur les hommes. Et vous continuez la conversation encore en tant que "victime agressive"...Chapeau ! Combiner autant de mauvaise foi et de procédé fallacieux, c'est de la malhonnêteté totale ! enfin ça porte un nom "L'argumentation de l'homme de paille" Franchement, ils ont pris trop de pincette pour un cancre comme vous! Je vous invite à revoir vos arguments avant de faire la "morale" aux autres !! a posté le 31 octobre 2014 à 21h30Bonjour, je vis depuis plusieurs années avec ce trouble de la personnalité ou toute autre appellation que la mouvance actuelle voudra bien lui donner, et je peux affirmer, que je suis bien un humain! J'en ai marre de tout ces articles qui cherche à diaboliser les gens qui n'ont pas le mode de fonctionnement du ne vous êtes jamais posé la question de savoir ce que ça fait de vivre sans rien ressentir de ce que vos congénère perçoivent? J'ai l'impression constante de vivre un rôle, caché parmi les autres humains normaux. Oui, je n'éprouve presque aucune empathie pour mes semblables, c'est comme jouer à un jeux de l'extérieur, voir tout les défauts des autres, leurs mécanismes primaires, savoir qu'on peut appuyer là et là pour obtenir ce que l'on veut, et s'étonner que lest autres réagissent à des stimuli qui nous paraissent insignifiants. Alors, on s'adapte, on vous imites, peut-être parviendra-t-on à devenir normal à force de mimer? Il m'est certes arrivé de manipuler bons nombres de personnes, parfois par simple curiosité "C'est incroyable, ça le touche vraiment quand je dis ça?!!", mais je suis persuadé que la plupart d'entres vous ferait bien pire si ils étaient dépourvus de remords comme je le suis. Vous vous gargarisez d'humanité, mais c'est par simple culpabilité, pour ne pas vous sentir mal, par égoïsme, que vous ne blessez pas les autres. Moi, par contre, si je décide de ne pas froisser quelqu'un, c'est en pleine conscguillaume-bassand a posté le 30 novembre -1 à 00h00Bonjour Francis, Ce que vous écrivez et très intéressant en cela qu'il remet bien les choses en place. Pour suivre de près depuis quelques temps le sujet tant d'un point de vue de l'actualité comme d'un point de vue scientifique, je peux vous dire que ce que vous décrivez n'est pas exactement la notion que souhaite faire passer Christel Petitcollin. Dans le cas du pervers narcissique, manipulateur destructeur ou tout autre "étiquette" qu'on lui accole, les moyens et jeux dont vous nous faites part sont utilisés à des fins de destruction de l'autre. La description de votre personne que vous partagez ici avec nous ne me semble en effet pas être du tout celle d'un "pervers narcissique". Alors comme vous le dites, je ne pense pas que vous soyez mauvais par essence. Et comme le dit Christel Petitcollin dans l'article "À trop l’évoquer, tout le monde s’en empare et vide le terme de sa substance. On brouille les pistes". Je vais donc m'aventurer à vous dire sans vous connaître mais en faisant confiance à votre parole que vous ne devez en aucun cas vous sentir visé par ces termes étant donné votre témoignage et votre description de votre personnalité telle que vous l'avez analysée. Ces termes ne doivent pas être utilisés pour classer et catégoriser les êtres mais pour essayer de poser des mots, décrire, expliquer, .. tout a posté le 31 octobre 2014 à 21h50suite c'est en pleine conscience. Il m'est même arrivé d'aider profondément quelqu'un après quelque heures de discussion, j'ai décortiqué toute sa personnalité devant lui. Il m'a remercié, m'a dit que ça l'avait aidé à mieux se comprendre, puis je n'ai plus eu de nouvelles il m'a confié qu'être mis à jour si facilement par quelqu'un le mettait mal à l'aise. Pas étonnant qu'on se cache. Je suis comme je suis, je ne suis pas un animal, je suis une autre face de l'humanité que vous ne parvenez pas à assumer. J'arrive même à concevoir que d'autres sont différents, j'ai même mis en place une éthique personnel pour vivre en société. Je ne suis pas forcement mauvais et pleins de ressentiments je suis simplement a posté le 1 novembre 2014 à 12h37 Francis Richard, Contrairement à l'opinion qu'exprime Guillaume BASSAND ci-dessus, je pense que votre témoignage pourrait très bien correspondre à celui d'un Cependant, et à l'inverse de la grande majorité des personnalités dites vous avez une extraordinaire lucidité sur votre manque d'empathie et le jeux de rôle auquel cet état vous convie. Je dois avouer que c'est très surprenant, car il est très rare qu'un se reconnaisse comme tel. Vous exprimez quelques idées préconçues qui peuvent émaner d'une pensée témoignant d'un manque d'empathie dans ses relations à autrui tout en avouant une absence de moralité http//per Vous vous présentez comme une autre face de l'humanité que "nous" les gens "normaux" ne parvenons pas à assumer. Ce faisant, vous mettez là l'accent sur une vérité qui heurte le bon sens des gens "communs" qui ne comprennent pas que nous sommes tous fait d'ombre et de lumière yin et yang, etc.. Pourquoi ne pas rédiger un article qui développe tous les aspects que vous évoquez ici, pour le proposer au Plus de l'Obs pour nous faire part de votre vision des choses ? Il me semble que votre parole à tout autant le droit de s'exprimer que celle des victimes de Cela pourrait leur permettre de mieux connaître les gens qui pourraient s'identifier à votre a posté le 31 octobre 2014 à 18h39On parle souvent de pervers mais peu de perverse, je lis souvent sur le sujet car j'en sors. La psychothérapeute ici est assez cool, ce que j'ai vécu pendant deux ans avec une femme est bien plus dur que cela. La manipulation mentale exercée était insidieuse, machiavélique, intelligente, mortelle. Lorsqu'elle se mettait en miroir, c'est une façon de manipuler assez connu sous le nom de synchronisation, d'une facilité déconcertante lorsqu'on la connais mais d'une redoutable efficacité. De l'hypnotisme éveillé et lors des premier 6 mois 6 à 8 heures de discutions par jours lui on permis de comprendre ma façon de penser et moi qui croyais avoir trouvé une personne avec qui je pouvais tout partager, j'ai enlevé toutes les barrières, toutes mes protections, et pendants ce temps, elle à inséré dans mon cerveau tout ce qu'elle souhaitait. Je n'avais plus la main sur mon moi. Je vais ici la faire courte, j'ai eu de la chance, beaucoup. Elle me tenait si bien qu'elle faisait ce qu'elle voulait, j'ai entendu et vécu des trucs que l'on ne fait même pas à son pire ennemi. Grâce à des publications comme celle ci j'ai réussi à la faire fuir, mais je me suis retrouvé avec un viol psychologique dont je ne suis pas encore complétement remis. En conclusion, il n'y a rien à faire que de fuir, j'ai encore peur de cette femme aujourd'hui , cela fait 8 mois que je ne la vois plus il m'est impossible de prouver mes dires, c'est parole contre parole et personne ne me cLovyves a posté le 31 octobre 2014 à 12h21Bonjour Au lieu de faire suppositions sur les qualités professionnelles de X ou Y, il serait possiblement, plus intéressant de voir le pourquoi du refus d'assurer le sujet la désignation de sujet. Est que la désignation de "pervers narcissique" existe dans la langue Française, alors où est le problème ? Remplacer cette expression par une autre pour la décrire , ne serait ce pas … de la manipulation !? Ne pas assumer le problème !?leulapin a posté le 3 novembre 2014 à 18h26Le terme de pervers narcissique est la production d'un seul professionnel qui a accolé deux notions séparées. Ce n'est pas une création littéraire ou académique. Son immense succès marketing tient bien plus à la presse féminine et généraliste qu'à une réalité en sciences a posté le 31 octobre 2014 à 04h13DES MOTS QUE DE MOTS ET DES opinions des certaines personnes que n ont aucune ideé de ce que vivre avec un manipulateur sans meme atendre pharler de ce MOT MANIPULATEUR Pervers au non, Pour comprendre je vous evite a avoir une experience avec un manipulateur et vous verrais la complicité de ce comportement inconnue au on ferme les yeux sans parler de leur complice que sont encore pire encore que le manipulateur lui meme voila Bien sur j etait victime de un FIONS et je suis encore praticament il faut des aneés pour trouver tout ces que le nous a retirer et detruit biz a vous tous voila de croie lire je fait de cherche depuis 6 ans par tout livre internet psy etc a posté le 30 octobre 2014 à 23h42Alors ''ils ne savent faire que ça.'' Vous insinuez donc qu'ils ne peuvent pas avoir de relation stable sans avoir recours à utiliser ça ? Ou que ce sont de simple animaux comme le suggère cette phrase-ci '' il ne faut pas leur prêter une humanité qu’ils n’ont pas.''. Je ne supporte pas que des gens comme vous, qui dénigre un être humain sous pretexte qu'il est différent, psychologiquement parlant, qui ne pense pas comme vous et qui donc, doit être éliminé ou alors converti à la société. C'est ainsi qu'est l'homme ? Nous nous sommes battus pendant des milliers d'années pour revenir à ce simple schéma ''Différent -> doit être converti ou alors mort'' ? C'est ce qu'est devenu l'homme ? Répondez a posté le 30 novembre -1 à 00h00"Vous insinuez donc qu'ils ne peuvent pas avoir de relation stable sans avoir recours à utiliser ça ?" Oui, malheureusement c'est tout à fait exact. C'est comme si vous disiez qu'un meurtrier ne mérite pas d'être jugé parce qu'il est différent et qu'il n'est pas "gentil" de juger. La réalité est parfois amère et difficile à accepter surtout si vous vivez une vie relativement calme et à l'abri. De même que vous invitez à considérer l'être humain en face de vous, considérez que vous avez en face de vous une professionnelle recevant des victimes de ces personnes "différentes" et ayant vu également ce comportement à l'oeuvre. Donc non, je vous confirme que ces êtres là n'aiment pas, même leurs propres enfants, que c'est quelque chose de difficile à envisager si vous ne l'avez pas vécu, et je ne vous souhaite pas de vivre une telle a posté le 30 octobre 2014 à 14h25J’ai voulu faire un article sur le thème du pervers narcissique car j’ai rencontré plusieurs femmes en cabinet mais aussi en consultations en ligne qui ont subies les conséquences de ce type de relation amoureuse toxique. Je voulais leur rendre hommage car elles sont heureusement toutes sur la voie de la guérison et de la libération. Par cette article, je voulais aussi vous informer sur ce thème pour aider d’autres femmes. a posté le 30 octobre 2014 à 12h48Y a t'il un lien avec les drogues? J'ai remarqué que certains drogués devennaient trop jalous et ensuite envieux, passant aux crimes. cf. le foot par exempleleulapin a posté le 3 novembre 2014 à 18h28Chez vous possiblement oui nemosophie a posté le 30 octobre 2014 à 10h49On ne peut qu'être d'accord avec l'auteur de ce billet lorsqu'elle dit "à trop évoquer le terme de pervers narcissique, tout le monde s’en empare et le vide de sa substance". C'est un fait indéniable, d'autant que la perversion narcissique est une théorie des conflits intra- et inter-psychiques qualifiée de troisième topique psychanalytique après les deux premières topiques de Freud au sujet de laquelle les psychanalystes "orthodoxes" se montrent plutôt réfractaires on se demande bien pourquoi puisqu'elle corrige, de façon fort pertinente, les défauts des deux premières topiques freudiennes. Autrement dit, la perversion narcissique désigne toute une constellation "d'agirs" interindividuels en situation de conflits qui puisent leur source dans un narcissisme pathologique dont le pervers narcissique n'est qu'une émanation ne représentant guère plus que la face visible de l'iceberg ou l'arbre qui cache la forêt. L'abord de cette problématique par son seul aspect comportemental ayant trait à la manipulation réduit encore plus le champ d'analyse de la perversion narcissique et contribue donc de ce fait à la vider de sa substance. Ce qui est regrettable, même pour des praticiens TCC dont l'intention est avant tout d'apporter un mieux être à leurs patients lire les commentaires très pertinents de FreezBee -XIII- ci-dessous. De plus, si le pervers narcissique est forcément très manipulateur, tous les manipulateurs ne sont pas pervers narcissnemosophie a posté le 30 octobre 2014 à 11h37... ique. - suite Bien que l'approche de la perversion narcissique par la manipulation soit une excellente porte d'entrée permettant aux victimes de telles personnalités de sortir du "décervelage" qu'elles ont subi, il convient de ne pas entretenir la confusion entre perversion et manipulation afin de ne pas stigmatiser les personnes qui utilisent la manipulation sans avoir conscience des conséquences délétères que l'usage répété de tels procédés provoque sur autrui et qui pourraient sortir de la manipulation si elles étaient mieux informées http//per A cet égard, je suis opposé à l'affirmation qui consiste à dire que le pervers narcissique est "incurable". Cependant, et ceci est extrêmement important, la proie d'un pervers narcissique, de part le statut qu'elle occupe dans la subjectivité de son agresseur, ne pourra JAMAIS le faire changer, car seule un tiers pourrait le faire à condition qu'il soit suffisamment formé pour cela ce qui est encore exceptionnel à l'heure actuelle. Subséquemment, il n'y pas d'autre solution que la fuite pour la victime d'une perverse a posté le 30 octobre 2014 à 09h05Mon expérience personnelle puisque mon beau-frère rentre dans le cadre du pervers narcissique montre qu'un tel individu berne tout le monde, psy compris, qu'il vit aux crochets d'autrui et de la société et qu'il peut massacrer sa mère en quasi-impunité dès lors qu'il a enfumé un médecin qui le déclare irresponsable handicap mental. Ni juges, ni gendarmes n'interviennent, les premiers parce qu'il les emballe sans forcer tant ils sont naïfs, les seconds parce que c'est trop fatigant de faire son a posté le 30 octobre 2014 à 07h40Pauvre psychothérapeute qui croit qu'on ne peut faire de psychothérapie qu'avec un être qui "reconnaît son trouble " et " ne ment pas"... Vous ne devez donc pas avoir grand monde a votre cabinet! Oui, un pervers narcissique est aussi une personne qui souffre et a ce titre mérite qu'on croit pour lui à un mieux être... Maintenant il est vrai que ce genre de patient viennent rarement en cabinet... Mais j'en ai reçu et suivi leur plainte se centrait sur leur dépression ou des conduites addictives... Et puis après? Si le mal être s'abaisse les symptômes cèdent... Et je suis d'avis que la manipulation perverse de l'Autre n'est qu'un symptôme chez des personnes atteintes de trouble narcissique.... Je trouve cet article intéressant pour les victimes des pervers narcissiques et inquiétant quant a la perte d'humanité et d'empathie de notre société... Si même ses plus empathiques représentants ou supposes être jettent l'éponge et la pierre...guillaume-bassand a posté le 30 novembre -1 à 00h00Je suis d'accord qu'il existe bel et bien une infime possibilité d'aider ces personnes. Seulement fasse au mensonge dont elles s'entourent, elles les premières, difficile de parvenir à trouver le point originel causant toute cette souffrance. Pour avoir enquêté sur la vie d'une de ces personnes, je peux même vous dire qu'il faut plus qu'une psychologue enfermée dans un cabinet pour leur venir en aide. Vous pouvez aider à diminuer le mal-être induit par des symptômes comme la dépression ou les conduites addictives mais tant que vous ne saisirez pas l'origine ce travail sera assez restreint. Alors quand il s'agit d'une personne seule et isolée du reste du monde, je suis d'accord avec votre point de vue de vouloir aider tout le monde de manière égalitaire. Maintenant lorsque vous êtes confronté à la réalité du terrain qui montre par les faits qu'un seul pervers narcissique peut détruire plusieurs dizaines de personnes en une vie, que ce soit de manière psychologique ou physique, vous m'accorderez la faveur de penser comme Christel Petitcollin qu'il faut un peu plus que de l'empathie et de la bonne volonté dans ce cas, mais du réalisme. Avant d'aider et soigner des bourreaux, même lorsqu'ils le sont "malgré eux", arrêtons le cercle sans fin de la violence puis seulement après, à tête reposée, occupons-nous de ces personnes qui, je vous l'accorde, dans certains cas, souffrent énormément. Et là encore, toutes ne "souffrent" a posté le 30 octobre 2014 à 09h03 Lucie Delanne " Vous ne devez donc pas avoir grand monde à votre cabine" Phrase à intention manipulatrice à plein nez !audreykucinskas a posté le 30 octobre 2014 à 09h20Lucile, vous ne partagez sans doute pas la même vision que notre contributrice, mais ne remettez pas ses qualités professionnelles en cause pour autant Merci !andarus a posté le 30 octobre 2014 à 11h48Il n'est jamais très sympathique de remettre en cause les qualités de quelqu'un. Toutefois les titres dont cette contributrice s'affuble sont aussi libre de droit que le fameux architecte d'intérieur... PS Ce n'est plus le cas pour le titre de psychothérapeute qui devant les confusions qu'il engendrait trop de gens le confondait avec celui de psychiatre à fait l'objet d'un encadrement. Malheureusement toute les personnes l'ayant revendiqué depuis plusieurs année échappe à toute a posté le 30 octobre 2014 à 15h08Vous avez raison Lucile.... Si être Psy c'est choisir les cas faciles, je suis prêt à changer de métier. C'est un métier lourd de responsabilités. Les patients en changent souvent faute de résultat. Si les Psy d'ailleurs étaient rémunérés "au résultat technique", il y en aurait beaucoup qui vivraient en dessous du seuil de a posté le 29 octobre 2014 à 19h05On peut distinguer trois types de personnes dont les pervers manipulateurs. Ceux-là se servent des autres. Ceux dont ils se servent, ce sont les balourds qui réagissent au quart de tour et qui ne jurent que par la force. Prenons l'exemple les énervés de la manif pour tous ou bien les écolos du tarn ou encore les révolutionnaires de syrie et d'irak ...etc. ce sont des gens qui aiment naturellement » la castagne et qui se retrouvent vite à "devoir" se venger, à "devoir" lutter contre ceux qui sont en train de modifier leur » monde. Normalement le pouvoir est entre les mains des gens raisonnables, pour qui la raison est l'alpha et l'omega. Ces gens, parce qu'ils ont un savoir suffisant, font la part des choses autant qu'il est possible de la faire et vont trouver des solutions pacifiques. Tout pb a une solution et c'est l'honneur de ces gens là, de prévenir la violence. Le pb vient des pervers, riches et rusés, qui ont intérêt à faire le barrage, ou bien à faire tomber Al Assad ou Hussein et qui, ces petits malins, via les médias, savent insinuer, susurrer, énerver les talibans, les porte-gourdin, les castagneurs, pousser à la guerre pour arriver à leur fins coûte que coûte ».Autoroute88 a posté le 31 octobre 2014 à 08h52 Lutter contre ceux en train de modifier leur » monde. » On en reparle en 2017 ? On verra qui gesticulera et qui pleurnichera après l’abrogation de la loi la plus absurde que la France n’ait JAMAIS connue…Votre petit microcosme où règne déni de réalité et autres déviances est aussi étriqué que le nombre de personnes soutenant votre cause perdue d’avance Au moins 70000 contre…300 personnes le 5 Octobre 2014 !!! Chiffres à l’image des résidus d’opinions favorables envers ceux pour combien de temps encore? au pouvoir…Gesticulera bien qui gesticulera le dernier. ; Pour en revenir à l’article,je dis bravo à Christel Petitcollin. La perversité en ce bas monde se voit comme catalysée ces dernières années mais je reste surpris de la voir jeter l’éponge quant à soigner les manipulateurs si ce n’est en les cadrant ».Malgré la qualité de son article,c’est un constat plutôt violent pour un psy !guibole a posté le 29 octobre 2014 à 18h12Oups... Je crois que je suis un peu un manipulateur... Leger mais quand même! Ca se lit bien votre livre ou c'est technique? Je suis pas demeuré mais les termes de psycho me sont parfois un peu a posté le 29 octobre 2014 à 17h58Tout le monde je pense est + ou - pervers narcisiique dans le sens ou dès qu'il y a une dispute ou séparation dans un couple, les menaces et les chantages prennent le dessus pour obtenir le retour du conjoint dans les plus brefs délais. C'est juste que chez certaines personnes ils son + atteint et tout le temps, et là ça se a posté le 29 octobre 2014 à 17h16j'ai vécu 3 ans avec un pervers narcissique .... et je n'en suis pas sortie indemne !!! je suis désormais handicapée physiquement et à vie !!!audreykucinskas a posté le 29 octobre 2014 à 17h45Je suis navrée, Agnès. Merci de partager ceci avec nous !huynhtran a posté le 29 octobre 2014 à 17h06Votre exposé a le mérite de quitter le royaume nébuleux des mythes pour s'appuyer sur des faits précis. Vous avez évité la faute originelle de Freud et des freudiens de faire de la psychologie diachronique, mythologique remontant à une source renvoyée dans un passé insaisissable " En ce temps là...". Vous vous cantonnez dans la psychologie synchronique cad celle qui s'occupe de ce qui se passe maintenant, ici, dans l'heure même où l'on vie. Votre psychologie n'a pas le lustre des grandes théories soi-disant profondes, mais repose sur un fondement infiniment plus solide, en dépit de sa modestie apparente. C'est la plus vraie, la plus efficace, la moins prétentieuse, la moins poudre aux yeux. Finalement nous sommes tous des manipulateurs, nous sommes tous des renards "obligés de nourrir notre ego". Je manipule donc je suis. Je souscris à votre constat. La manipulation fait partie de notre condition humaine, d'animal social, interdépendant. Quitte à savoir l'intention pour laquelle on manipule. Réduit-on l'autre à n'être qu'un simple objet, un instrument , un simple moyen ou le respecte-t-on comme une fin en soi. C'est à vous de deviner mon intention dans ce post a posté le 29 octobre 2014 à 16h57Je trouve cela très bien de démocratiser ce problème! ça permettra à plus de personnes de sortir de l'ombre et de se sentir moins isolé face à ce fléau!FreezBee a posté le 29 octobre 2014 à 14h00On refuse délibérément de discuter l'étiologie du narcissisme comme ici ou de s'inquiéter du nombre grandissant de narcissisme pathologique qui, sous une forme certes moins extrême, abondent pourtant dans la vie quotidienne de notre temps la relation de dépendance à autrui pour le réconfort médiatisé qu'il peut procurer, associé à la crainte de l'asservissement, le sentiment diffus de vide intérieur, l'immense rage réprimée, et les désirs insatisfaits. On se prive ainsi d'analyser les fondations à partir desquelles il serait possible d'établir des rapports précis entre d'une part, le type de "personnalité narcissique" et d'autre part, certains "traits caractéristiques de la culture contemporaine", comme la peur intense de vieillir, une perception différente du temps, la fascination de la célébrité, la peur de la compétition, la détérioration des relations hommes femmes. Pour tous, hélas, le narcissisme demeure, au plus vague, synonyme d'égoïsme, au plus précis, une métaphore, rien de plus, décrivant l'état d'esprit dans lequel le monde apparaît comme un miroir du "moi" alors qu'il est aussi désormais une massive Production a posté le 29 octobre 2014 à 14h45La propagande moderne sur les biens de consommation et la vie bonne conditionne systématiquement l'impulsion vers la gratification, il n'est donc plus nécessaire au "ça" de se faire pardonner ses désirs, ni non plus de déguiser toutes ses proportions grandioses. Mais cette même propagande a délibérément rendu insupportables l'échec et la privation = looser. Lorsque le nouveau "Narcisse Immature Pogressiste" désormais produit en masse, prend enfin conscience qu'il devra peut-être vivre non seulement sans être célèbre, mais même sans "moi", vivre et mourir sans que les autres se soient jamais rendus compte de l'espace microscopique qu'il occupait sur cette planète, il ressent immanquablement cette découverte non seulement comme une déception, mais comme un coup dévastateur porté à son "identité". Les réactions en chaine ne se font guère attendre, et nous les constatons tous les a posté le 29 octobre 2014 à 15h00FreezBee a posté le 29 octobre 2014 à 16h34Merci à vous Sophie y compris pour le lien fort intéressant que je découvre. Notre thérapeute, comme nombre de ses collègues, est hélas doublement piégée, puisque lorsqu'elle parle de la nécessité de "l'amour" et de la "signification" ou du "sens", les thérapies ne définissent généralement ces notions qu'en termes de satisfaction de besoins affectifs du patient. Il leur vient à peine à l'esprit - étant donné la nature de l'acte dont il s'agit, comment le pourraient-ils ?- d'encourager ce même patient à subordonner ses besoins et ses intérêts à ceux d'autrui, à qqun, ou à quelque cause ou tradition extérieure à son cher "moi". L'amour en tant que sacrifice de soi ou humilité, ou le "sens" en tant que soumission à une loyauté plus haute, voilà des sublimations qui apparaissent à la sensiblilité thérapeutique comme une intolérable oppression. Libérer l'humanité de notions aussi attardées que l'amour ou le devoir, telle est la mission des thérapies postfreudiennes, pour lesquelles la santé mentale signifie suppression systématique des inhibitions et gratification immédiate des a posté le 29 octobre 2014 à 13h35Finalement, je rejoints les commentaires, les manipulateurs sont en politique droite gauche centre, au cinéma, dans les syndicats par l'intermédiaire des permanents !, des écrivains, des journalistes et nous les petites mains des dindons ! Gloup ! gloup ! a posté le 29 octobre 2014 à 13h06Merci de nous avoir fait un petit billet sur les caractéristiques essentielles du personnel que sont les politiciens professionnels de tout bord. Avec la Révolution Française, nous pensions être sortis de "l'Hétéronomie" de sujetion de tous les individus aux Rois, aux Princes et à la Religion, pour entrer enfin dans "l'Autonomie" de l'individu Raisonnant du Siècle des Lumières, mais nous avons raté cette destination puisque le "Libéralisme" Libéralisme = Stade Ultime du Capitalisme = Droite & Gauche Libérale nous fait dorénavant vivre pleinement pour notre plus grand "Bonheur" la production massive de "Narcisses Immatures Progressistes Pleutres et Pervers". En attendant la prochaine étape évolutive, nous devons bel et bien nous coltiner avec celles et ceux-là dont le nombre ne cesse hélas d'exponentiellement a posté le 29 octobre 2014 à 12h39Le portrait craché du philosophe bien pensant ! Le sujet n'est pas formulé ici sous la forme d'une question, mais reprend, sous une forme affirmative, un énoncé issu de l'opinion commune, qu'il s'agit alors d'expliquer, de discuter et, le cas échéant, de critiquer. Implicitement, la question est donc ici de savoir si l'affirmation à chacun sa vérité », est, ou non, légitime. 1. A chacun sa vérité» le problème du relativisme a. Tolérance et opinion A chacun sa vérité », ou encore à chacun son opinion », ce sont là des phrases qui relèvent assurément de l'opinion commune, qui entend suggérer par là une exigence de tolérance s'opposant à l'attitude qui consisterait à rejeter toute idée qui diffèrerait des siennes propres. Mais ces énoncés posent problème ils impliquent que la vérité peut être considérée comme subjective, comme essentiellement relative – chacun pouvant disposer d'une vérité qui ne serait que la sienne. Mais une vérité qui n'est vraie que pour moi est-elle encore une vérité ? b. Le problème du relativisme Cette difficulté a été mise en évidence par Platon qui, dans le Théétète, reprend les thèses du sophiste Protagoras celui-ci affirmait en effet que l'homme est mesure de toutes choses », autrement dit, que la ou plutôt les vérités dépendent des perceptions, sentiments ou opinions de chacun. Or il est vrai, par exemple, que le même vent, qui semble à l'un glacial, peut apparaître tiède à un autre, de sorte qu'il serait à la fois vrai de dire que ce même vent est glacial et, tout à la fois, qu'il est tiède. Si la connaissance se réduit à la perception ou à l'opinion, il semble donc légitime de dire à chacun sa vérité », puisqu'il est vrai que perception et opinion sont, par définition, subjectives et relatives. Mais le problème est précisément de savoir si une telle conception de la connaissance ou de la science peut être admise. c. relativisme et scepticisme Dire à chacun sa vérité », cela implique que l'on se contente de s'en tenir à des opinions incertaines ou à des sensations subjectives – que l'on se contente, donc, de s'en tenir à un relativisme du vrai, suivant lequel ce qui est vrai pour moi ne l'est pas nécessairement pour les autres. Mais ce relativisme a nécessairement pour corrélat un scepticisme, aux deux sens du terme il aboutit soit à nier la possibilité même de découvrir aucune vérité authentique, et ainsi à renoncer à tout effort ou à toute recherche théoriques ; soit à se tenir dans une simple position de questionnement ou d'examen perpétuels, sans espoir cependant d'obtenir aucune réponse assurée suivant l'étymologie du terme scepticisme », qui provient du grec skeptomaï j'examine ». 2. A chacun sa vérité» un énoncé illégitime a. Un énoncé contradictoire Plus radicalement, on pourrait dire que cet énoncé est contradictoire dès lors que l'on affirme à chacun sa vérité », on affirme en réalité sans s'en rendre compte qu'il n'y a pas, au sens strict, de vérité – puisque la vérité se doit d'être universelle – ou du moins que la vérité ne saurait en aucun cas être rendue accessible aux hommes. En d'autres termes, une vérité qui n'est que ma vérité ne saurait être une vérité au sens strict. Il serait absolument absurde, par exemple, de soutenir que chacun a sa propre définition du triangle, ou que chacun est libre de penser ce qu'il veut quant à la réalité de tel événement historique singulier. b. Le refus des opinions relatives Se contenter de vérités, ou plutôt d'opinions, relatives, c'est là une solution de facilité qui conduit à renoncer à toute science possible. Tel est le propos de Descartes, qui remarque que la diversité des opinions est le signe de ce que l'on n'a encore atteint aucune connaissance certaine chaque fois que sur le même sujet [deux savants] sont d'un avis différent, il est certain que l'un des deux au moins se trompe ; et même aucun d'eux, semble-t-il, ne possède la science car si les raisons de l'un étaient certaines et évidentes, il pourrait les exposer à l'autre de telle manière qu'il finirait par le convaincre à son tour ». Les opinions sont précisément, pour Descartes, ce que l'on doit dépasser pour accéder à la science. 3. De l'opinion à la science a. Opinion et science Il faut donc comprendre finalement qu'opinion et science s'opposent point par point l'opinion est subjective, insuffisamment démontrée, et par suite incertaine, tandis que la science se doit d'être universelle, démontrée et certaine. En ce sens, la recherche d'une science ou d'une vérité authentiques doit nous amener à rejeter toute opinion, ainsi que le fait Descartes à travers l'entreprise d'un doute volontaire et radical. b. L'opinion comme point de départ Il n'en demeure pas moins vrai que nous commençons nécessairement par disposer seulement d'opinions incertaines la finitude de notre condition fait que nous ne sommes point omniscients, mais relativement ignorants. C'est pourquoi les opinions relatives sont toujours pour nous, de fait, le nécessaire point de départ de toute recherche de sorte que la réflexion et la raison ont d'abord pour rôle d'examiner, de critiquer ces opinions initiales – qui seront, alors, soit éliminées si l'on met au jour leur fausseté, soit conservées et démontrées, si elles sont susceptibles de l'être. c. Le dialogue opinion et vérité C'est aussi en ce sens que le dialogue est utile la confrontation des opinions diverses permet précisément de mettre au jour les insuffisances éventuelles de chacune, et par là de les remettre en cause. Mais un dialogue véritable implique que chaque interlocuteur ait en vue, non point la seule défense de son opinion propre, mais l'horizon d'une vérité universelle que peut être nul d'entre eux ne détient encore – et par là même le dépassement et l'abandon de toute opinion subjective. En ce sens, il faudrait conclure en disant que, si l'on peut légitimement dire à chacun son opinion », puisque toute opinion est par définition subjective, on ne saurait nullement dire de même à chacun sa vérité ». C'est précisément au-delà de toute opinion, et peut-être même contre toute opinion subjective, que la vérité peut seulement être découverte On ne peut rien fonder sur l'opinion », disait Bachelard, mais il faut d'abord la détruire ». L'opinion est, pour la science, le premier obstacle à surmonter ». Pour aller plus loin Platon, Théétète, 152 a-d sur le relativisme de Protagoras. Descartes, Règles pour la direction de l'esprit, III sur le désaccord et la diversité des opinions comme signe d'ignorance. Discours de la méthode, I sur le même point, et IV sur la mise en œuvre du doute radical. Bachelard, La Formation de l'esprit scientifique, 1 Vrin, p . 14 sur l'opinion comme obstacle épistémologique ». Vous avez déjà mis une note à ce cours. Découvrez les autres cours offerts par Maxicours ! Découvrez Maxicours Comment as-tu trouvé ce cours ? Évalue ce cours ! Facebook / Ian SomerhalderA la télé, sur les étagères d’une librairie, dans les pages de votre magazine préféré… Vous avez forcément déjà vu, lu ou entendu quelque chose au sujet du pervers narcissique. Nouvelle cible des psychologues, le profil du PN s’est retrouvé à son insu sous le feu des projecteurs. On parle de lui à longueur de journée et on le fuit comme la peste tant son contact est nocif. Monsieur ou madame est partout. Il se cache dans les vêtements d’un chef d’entreprise, dans ceux d’un fin séducteur ou bien encore dans les baskets de votre père. On a beau parlé de plus en plus de lui, cela ne rend pas la tâche plus facile tant il est intégré à la société. Il vous ressemble comme deux gouttes d’eau et peut vous tromper en un claquement de doigts… Enfin, seulement si vous ne connaissez pas ses innombrables failles. Pour vous et uniquement pour vous, a listé les pires traits de caractère du pervers narcissique. Grâce à eux, vous pourrez vous construire un radar anti-PN !Le PN est… manipulateur, calculateur, charmeur…via GIPHY Au tout début de votre histoire, le PN passe son temps à vous charmer. Il se rend indispensable, vous couvre de petites attentions et ne veut qu’une chose vous rendre heureux pour mieux vous briser ! Chaque geste, chaque attention est calculée et minutieusement réfléchie. Avec lui, rien n’est naturel. Sans ces innombrables mises en scène, il ne tromperait personne !Le PN n’a jamais tort !via GIPHYVous avez beau lui prouver par A+B qu’il a tort, le PN A TOUJOURS RAISON ! Lassé de vous battre contre sa mauvaise foi, vous finissez par accepter la situation et baisser les bras dès qu’il commence l’une de ses nombreuses PN dit la vérité, mais ment toujours !via GIPHYLe PN a une vision très particulière de la vérité. Tous ce qui sort de sa bouche est juste et 100% honnête, même ses mensonges. Lorsqu’il se fait prendre, il n’hésite pas à en remettre une couche jusqu’à ce que vous ne doutiez plus de lui, mais de vous. Il préfère vous rendre responsable de ses erreurs et se décharger sur vous, plutôt que d’ PN est isolationniste ! via GIPHYA l’instar de son grand copain Trump, le PeN est isolationniste. Il ne supporte pas l’idée de vous partager avec les autres. Pour cela, il vous fait culpabiliser dès que vous quittez la maison sans lui, dès que vous téléphonez à quelqu’un d’autre… En gros, c’est lui ou rien !Le PN est égoïste ! via GIPHYLe pervers narcissique ne pense qu’à lui et se joue de vous. Vous êtes un pion dans son échiquier de déséquilibré et si ce n’était pas vous, ce serait quelqu’un d’autre...Avez-vous déjà fréquenté un pervers narcissique ?>> A lire aussi TEST Es-tu susceptible de tomber sur une Perverse Narcissique ?Hater Vous détestez tout et tout le monde ? Cette application de rencontre est faite pour vous ! lire aussi Sylvie Vartan révélations choc autour d’un pervers narcissique qui a frappé fort… Capucine Anav fait des révélations terrifiantes sur son ex l’ex-chroniqueuse de “TPMP” victime d’un pervers narcissique ! Bonjour, je souhaiterais parler anonymement en gardant mon nom secret. Je vous informe que je suis une adolescente de seulement 14 ans. J'ai passé mon enfance dans une famille douce et chaleureuse, avec des parents aimants et fiers de moi. J'ai été capricieuse, coléreuse et peste dès mon plus jeune âge, surtout avec ma grande soeur plus agée que moi de deux ans. On ne s'est jamais entendue, pas plus aujourd'hui qu'avant. Mais à 7 ans, mes parents ont divorcés. Des problèmes financiers que nous n'avions encore jamais connus sont survenus, en plus de 2 parents qui se détestaient et qui, même aujourd'hui, ne peuvent plus communiquer que par le biais de la justice et des avocats. Je me suis posée beaucoup de questions et ai appris à y répondre par moi même, puisque vivre dans le mensonge de sa famille, être entre ses parents sans arrêt et devoir sans cesse choisir en en décevant un n'est pas chose facile. Mais entre temps, j'ai compris beaucoup de choses. Un peu trop même. J'ai compris malheureusement que mon père est un pervers narcissique. Un des plus redoutables qui puissent exister, je crois. Non seulement parce que son père l'était lui-même déjà, mais aussi parce qu'il est précoce. Je ne sais pas si la précocité est typique chez les PN, mais si ce n'est pas le cas, alors cela le rend doublement plus intelligent, doublement plus redoutable, doublement plus dangereux. Dieu merci, j'ai très vite appris la règle de base de survie face à ce genre de personne ne jamais écouter ce qu'il dit. Penser à autre chose, s'enfermer dans une bulle contre toute influence ou mauvaises ondes. Mais aujourd'hui j'ai un terrible problème. J'en ai même plusieurs, en fait, mais je ne vais pas m'étendre sur le sujet puisque ce n'est ici ni le lieu, ni le sujet. Je tiens toute ma personnalité, tout mon caractère, toutes mes qualités... et tous mes défauts, de mon père. Je suis précoce, et en plus de cela, je pense être une pervers narcissique. Bien sur, encore beaucoup de critères sur les sites internets ne me correspondent pas parce que je suppose que je suis jeune et qu'au fond de moi, j'ai encore un coeur d'enfant, mais j'ai déjà assez bien grandi pour déjà faire souffrir des gens, sans qu'ils sachent à qui ils ont affaire. Je demande de l'aide, parce que je lis partout des choses sur internet qui me semblent peut-être disproportionnées, mais qui ne le sont peut-être pas par exemple, que c'est une maladie "incurable", ailleurs, on dit que c'est un trouble de la personnalité aiguë, ou encore que c'est un trouble mental qui ne se soigne pas. J'ai l'impression d'être folle, parce que je n'arrive pas à lutter contre moi-même. C'est un peu comme un combat à armes égales, mais dont il n'y a aucune solution possible. Je sais que mon appel à l'aide est vain, parce que personne d'autre que moi n'est en mesure de me changer, mais c'est trop dur. Je n'ai jusqu'ici jamais voulu qu'on m'aide, parce que j'avais trop de fierté, mais aujourd'hui je ne vois vraiment pas d'autre option possible. Je n'arrive pas à m'en sortir, alors je m'éloigne des autres, je fais en sorte d'être appréciée mais pas trop pour ne faire de mal à personne, pour que personne n'ait à croiser mon chemin et à devenir "ma victime". Je protège ceux qui m'entourent en les rejetant, y compris ma famille. Et c'est terriblement dur pour eux de voir mon isolement, et d'avoir l'impression qu'ils ne comptent pas pour moi. Et j'ai l'impression, avec le temps, qu'à force de vouloir m'éloigner d'eux - aussi cruel que cela puisse paraître - et malgré moi, je ne les aime plus. J'ai l'horrible sentiment de n'aimer personne, peut-être parce qu'on m'a fait trop de mal, mais je ne veux pas me comporter en victime, ou peut-être parce que je ne suis pas quelqu'un d'affective. Je me protège moi également, je ne peux pas le nier, en m'empêchant de m'attacher aux gens. Pour terminer, j'ai ce soir découvert que j'étais très certainement la victime de mon père. Je ne sais qui croire entre ma mère et mon père, alors je préfère ne pas choisir et me fier à mon instinct, mais même lui refuse de croire ni l'un, ni l'autre. Ma mère me dis sans arrêt que mon père se fiche de ma soeur et moi et de notre intérêt, qu'il nous utilise pour la détruire. Lui, il nous dit - ou plutôt me dit, puisque ma soeur refuse de le revoir depuis maintenant 1 an - que ma mère fait tout pour nous empêcher de le voir. Les PN aiment mentir, diviser pour mieux régner, influencer, utiliser les faiblesses des autres. Est-ce que vous savez ce que c'est de devoir se protéger des ses propres parents, de sa propre famille ? Vous savez ce que c'est d'être à la fois la victime et le bourreau? Ce que c'est que de sans cesse subir des reproches par un parent parce que vous êtes comme son ex mari, un pauvre PN pitoyable et manipulateur et que vous n'êtes pas comme elle l'aurait voulu, même si elle est fière de vous? Ce que c'est que d'être né, sur 9 milliards d'humains, du mauvais parent, du père qui va vous ruiner? Je ne m'en prends à personne, cela fait bien longtemps que j'ai appris à vivre avec. Mais ma haine, ma colère, mon incompréhension m'empêchent de me contrôler. Et je deviens un peu plus comme lui chaque jour. Et j'aimerais que quelqu'un me conseille, me dise quoi faire, ou au moins juste que ça va aller et qu'adulte j'irais peut-être mieux, qu'avec du recul et de la sagesse, ça me passera. Que tout cela ne sera plus qu'un très lointain et mauvais souvenir. Mais j'ai bien peur de devoir vivre une longue et triste vie seule, incomprise et haineuse à la limite de la misanthropie, et surtout, folle. Je ne veux pas faire des stages d'hopital psychiatrique comme mon père. Je ne veux pas être folle. Mais pour mon âge, je suis différente des autres. Je ne suis pas normale, même sans parler de ma précocité. J'ai l'impression d'avoir grandi, d'être déjà adulte. Et ça me terrifie. Alors s'il vous plait, qui que vous soyez, je vous en prie, aidez moi. Merci d'avoir au moins pu prêter attention à mon texte. Bonne continuation.

dire ses 4 vérités à un pn